APOSTILLE
Convention de La Haye du 5 octobre 1961
Supprimant l’exigence de la légalisation des actes publics étrangers.
La Convention Apostille facilite la circulation de documents administratifs émanant d’un pays signataire de la Convention que vous souhaitez présenter dans un autre pays, également signataire de la Convention. Elle offre la possibilité de remplacer les formalités lourdes et parfois coûteuses de la légalisation par la délivrance d’un certificat d’Apostille.
N.B. : une apostille n’atteste que « la véracité de la signature, la qualité en laquelle le signataire de l’acte a agi et, le cas échéant, l’identité du sceau ou timbre dont cet acte est revêtu ». L’apostille ne porte pas sur le contenu de l’acte public sous-jacent. La Convention ne concerne que les documents officiels. Il s’agit des documents émanant d’une administration ou d’un fonctionnaire relevant d’une juridiction de l’État (documents émis par les tribunaux administratifs, constitutionnels et ecclésiastiques, par le Ministère public, par un greffier ou un huissier de justice) ; des documents administratifs ; des actes notariés et des certificats officiels apposés sur un acte sous seing privé, par exemple les mentions d’enregistrement, les visas de date certaine, ainsi que les certifications de signature par un notaire ou une personne accréditée. En pratique, l’Apostille est délivrée le plus souvent pour les documents suivants : Actes de naissance, de mariage et de décès ; extraits de registres du commerce et d’autres registres ; brevets ; décisions de tribunaux ; actes notariés et certifications notariales de signatures ; diplômes universitaires et diplômes délivrés par des institutions publiques, etc. Une Apostille peut aussi être délivrée pour la copie certifiée d’un document administratif. En revanche, la Convention ne s’applique ni aux documents délivrés par des agents diplomatiques ou consulaires, ni aux documents administratifs traitant directement d’opérations commerciales ou de douane (par exemple les certificats d’origine ou les licences d’import-export).
Une fois l’Apostille obtenue, le document peut être transmis directement au pays dans lequel le document sera utilisé, sans avoir à passer par une autre certification de l’Administration.
Certificats d’Apostille pour les documents américains
pour savoir comment obtenir un certificat d’Apostille aux États-Unis, consulter le site
www.apostilleinfo.com/usa.htm.
Certificats d’Apostille pour les documents français
si vous avez besoin d’une Apostille pour un document en français délivré en France, contactez votre tribunal de proximité (palais de justice) qui devrait avoir un service de l’Apostille. A Paris, joindre le standard du palais de justice au 01.44.32.50.50 et demander le Service de l’Apostille.
Télécharger la version .pdf de la procédure de l’Apostille
To Whom It May Concern:
I am delighted to recommend Mr. Granville Fields as an interpreter. I had the occasion to work with Mr. Fields in a series of depositions in a matter litigated in an American court that turned pivotally on an interpretation of French contract law, and he impressed me tremendously in every respect in both his French to English and his English to French translations.
To begin with, Mr. Fields has an excellent and beautiful command of both languages, but more unusual, a brilliant and expert grasp of legal terminology and mastery of the subtleties of translating legal terms with precision and clarity. He is able to remember extensive testimony with perfect recall, and to translate it in a complete, meticulous and mellifluous fashion. In addition, he has exquisite professional demeanor and temperament, and is able through his calm, thoughtful, and respectful presence to enhance the dignity and civility of a deposition. 1 am reasonably fluent in French and can tell you that I was often tempted to say “Bravo” after he had translated a particularly difficult concept into accessible and effortless prose. He is far and away the best translator our litigation team dealt with in this matter and was so highly valued and esteemed that both sides agreed to bring him from Paris to New York and Delaware for translation rather than use local personnel.
Mr. Fields also did written translations for us of a series of French judicial decisions, and they again were distinguished by their precision, accuracy and elegance. He is thus highly reliable and expert at both oral and written translation.
For any deposition, trial, arbitration matter, or expert testimony in need of an interpreter, I would recommend Mr. Fields with the greatest possible enthusiasm.
Sincère,
Kathleen M. Sullivan